ACTE 4 - Édition 2019
RSE et raison d'être de l'entreprise
Le 6 juin 2019, à l'Institut Catholique de Toulouse, le Grand Procès de la RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises), dans sa 4ème édition consacrée au thème de la « raison d’être de l’entreprise », mettait une nouvelle fois la RSE sur le banc des accusés.
Une scène de « reconstitution » permettait au public, dans un format théâtre forum très participatif, de prendre pleinement part aux débats. En suivant, ce même public, devenu Jury d’un soir, remplissait avec enthousiasme son rôle, après de nombreux échanges instructifs, pour un acquittement de la RSE en conclusion du procès.
Le thème central
Nos intervenants

Geneviève Ferone-Creuzet

Pionnière de la notation sociale et environnementale, spécialiste de la RSE, du développement durable (Eiffage, Véolia), de l'investissement socialement responsable, Geneviève FERONE-CREUZET est une personnalité qui compte à plus d’un titre dans les débats actuels sur la raison d’être, les entreprises à mission. L’équipe d’organisation est très heureuse de sa participation au GPRSE, 4ème édition.
Intervenant en qualité « d’avocate de la défense », nul doute qu’elle développera une analyse de la situation et des arguments qui vont éclairer les membres du « jury », les aider à prendre de justes décisions. Nous pouvons logiquement compter sur le même effet d’éclairage et d’aide à la décision pour les acteurs économiques locaux qui sont pour un soir, justement, ces membres du bienveillant jury du Grand Procès de la RSE !
Denis Clerc

Economiste, fondateur de la revue « Alternatives économiques », Denis CLERC a toujours manifesté une grande attention à l’enseignement de l’économie et aux « valeurs » qui peuvent en constituer le socle. Son parcours professionnel et associatif, sa bibliographie, ses nombreux articles de presse en témoignent.
L’équipe du GPRSE est très heureuse de l’accueillir le 6 juin dans le rôle de « procureur », celui qui peut appuyer où cela fait mal, dénoncer les doubles (triples ?) discours, les décalages entre les intentions parfois très louables et la réalité des faits. Dans ce monde ou la responsabilité globale des entreprises est de plus en plus mise en avant, les orientations proposées à partir de la notion de « raison d’être de l’entreprise » ou de « l’entreprise à mission » offrent-elles de réelles « alternatives économiques » ?